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Premier auteur : S Alehashemi

Revue :  Arthritis and Rheumatology

Reference :  DOI :  10.1002/art.42664


Amylose AA associée à l'Anakinra

Les réactions au point d'injection sont fréquentes chez les patients qui reçoivent de l'Anakinra. Les patients présentent souvent une sensation de brûlure avec érythème, cet effet indésirable disparait avec la rotation des sites d'injection. Les auteurs de cet article ont précédemment décrit le développement d'amyloïdomes associés à l'Anakinra comme une complication tardive des injections d’Anakinra chez deux patients atteints des Syndromes Périodiques Associés à la Cryopyrine (CAPS). Cette forme d'amylose (AIL1RAP [protéine antagoniste du récepteur de l'IL-1 (IL-1Ra)]) est désormais reconnue comme un type d'amylose par le comité de nomenclature de la Société internationale d’amylose Les auteurs rapporte ici le premier cas d'amylose systémique iatrogène, apparu sous la forme d'une amylose de type AIL1RAP chez un patient atteint de CAPS et traité par Anakinra.


Résumé Article Amylose AA Anakinra
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Premier auteur : Naqib Ullah

Revue: Cureus

Reference :  DOI :  10.7759/cureus.49533


Article sur Néphrite tubulointerstitielle aiguë et amylose rénale

Introduction:

Le cancer du poumon est la deuxième tumeur maligne la plus fréquente. Les deux types du cancer pulmonaire sont le cancer du poumon à petites cellules (CPPC) et le cancer du poumon non à petites cellules (CPNPC). Parmi les traitements actuels, les agents anti-PD-1 ou anti-PD-L1 (inhibiteurs du check point (ICP) : pembrolizumab et atezolizumab) représentent un traitement adjuvent dans le cancer pulmonaire.  Les effets indésirables les plus fréquemment rapportés avec les ICP sont la diarrhée, la pneumopathie et l'hépatite médicamenteuse.

Les auteurs rapportent ici le cas d'un homme de 70 ans qui a reçu de l'Atezolizumab en traitement adjuvant et qui a développé une protéinurie de type néphrotique, révélant une amylose AA et une néphrite interstitielle induite par l’atezolizumab.


Résumé Article Néphrite tubulointerstitielle aiguë et amylose rénale
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Alexandre Terréa,1, Mathieu Vautierb,1, Jean-Emmanuel Kahnc,

Sophie Georgin-Laviallea,2,*, Guilaine Boursierd,2


Efficacy of canakinumab for mosaic tumor necrosis factor receptor associated periodic syndrome

Introduction:

Le syndrome périodique associé au récepteur du facteur de nécrose tumorale (TRAPS) est l'une des premières maladies autoinflammatoires monogéniques à être décrites [1]. Le TRAPS est une maladie dominante due à des mutations du gèneTNFRSF1A et touche des patients de toutes les régions du monde [2].

Les principales caractéristiques cliniques sont des poussées inflammatoires récurrentes et prolongées

associées à de la fièvre, des douleurs abdominales, des myalgies et des œdèmes.

La plupart des patients présentent une mutation germinale, mais 4 patients présentant des mutations somatiques (c'est-à-dire post-zygotiques) ont été décrits [3-6]. Le canakinumab, un

anticorps monoclonal anti-interleukine-1, s'est avéré efficace pour prévenir les crises et contrôler l'inflammation dans les cas de maladie germinale, dans la prévention des attaques et le contrôle de l'inflammation dans les TRAPS. En effet, le canakinumab est la seule molécule à avoir démontré son efficacité dans le cadre d'un essai randomisé [7].

Un cas associé à une mutation somatique a rapporté l'efficacité du canakinumab dans les TRAPS somatiques [4].

Nous rapportons ici l'efficacité du canakinumab dans le traitement de 2 patients suivis au centre de référence français des maladies auto-inflammatoires de l'adulte (CEREMAIA).

Received 11 December 2023; Received in revised form 22 January 2024; Accepted 25 January 2024

0953-6205/© 2024 European Federation of Internal Medicine. Published by Elsevier B.V. All rights reserved.


Efficacy of canakinumab for mosaic tumor necrosis
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